Vous pouvez dès maintenant commander en pré-achat les deux volumes qui regrouperont ces collectes, en forme d'édition critique, rassemblées et commentées par Hervé Dréan et Hugo Aribart.
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Nul doute sur l'emploi de cette chanson ; son rythme et son refrain sont suffisamment explicites pour savoir qu'elle a été utilisée pour accompagner la marche. Si on ne s'en tenait qu'à ses paroles ce serait moins évident. Comme quoi un texte peut aussi bien trouver sa place dans les activités telles que la danse, la marche ou le travail ou simplement se prêter à une écoute plus attentive. Ce n'est pas la première fois que nous le constatons. Mais la fonction est loin d'être son seul intérêt. Voyons donc pourquoi avec cette version de « La baigneuse et le fils du marchand ».
Pour écouter la chanson et lire la suite :
Ce ne sont pas les corons que nous allons chanter ici, mais les loisirs des régatiers nantais, à une époque où cette activité ne s'était pas encore démocratisée. Le développement de la plaisance, à la fin du 19è siècle, a profité de conditions favorables sur l'Erdre, rivière suffisamment large et navigable pour faire de la commune de Nort-sur-Erdre un but des plaisanciers nantais. Plusieurs chansons composées par ces marins d'eau douce ont intégré le répertoire traditionnel. Nous dirons donc encore une fois, paraphrasant Maitre Folace (1) « C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases».
pour écouter la chanson et lire la suite :
Après une année 2023 où la Région des Pays de la Loire ne nous a versé aucune subvention, sans motif et sans aucune notification, le couperet est tombé pour 2024 sous la forme d'un courrier officiel invoquant un « contexte budgétaire contraint ». Nous avons organisé une conférence de presse pour alerter sur les conséquences inévitables pour le maintien de notre seul emploi salarié et la poursuite de nos activités.
Pour que vous soyez pleinement informés nous vous invitons à lire le texte du communiqué de presse ainsi que l'article publié dans le quotidien local Presse-Océan.
La réponse donnée par l'instance régionale au journaliste atteint des sommets de mauvaise foi. Jugez en par vous-mêmes :
pour lire l'article et le communiqué :
