Les bovins sont en général assez peu compatissants pour le mauvais sort infligé aux humains. On a déjà vu le cas d'un petit moine au prises avec les difficultés de traire une vache (chanson n° 115 – juillet 2015). Voici encore une fois un garçon de ferme qui subit l'indifférence de son troupeau à ses misères. Mais ce n'est sans doute pas après les vaches que son ressentiment est le plus fort. Derrière l'ironie des paroles faut-il voir une tentative de dénoncer l'attitude des puissants, ou bien juste une moquerie de gros lourdauds campagnards ? A vous de voir.
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