dimanche 3 août 2025

483 – La commission oubliée

 On avait failli l'oublier ! Presque cinq cents chansons dans ce blog et pas une seule ligne sur l'une des plus populaires de celles qui évoquent cette bonne ville de Nantes. Il était temps de réparer cette erreur en choisissant parmi ses nombreuses versions l'une de nos préférées. Un choix bien difficile tant cette chanson a généré des mélodies et des couplets dignes d'intérêt. Puisque l'histoire se situe près de chez nous, le choix s'est porté sur un modèle plusieurs fois collecté sur notre territoire.

Pour écouter la chanson et lire la suite : 

dimanche 20 juillet 2025

482 - Y'a dix bretons...

 Les chansons courtes, randonnées, énumératives et, encore plus, les chansons à la dizaine forment une partie importante du répertoire, au moins dans deux domaines : les chansons à la marche et les chansons à danser. Leurs textes restreints ne nous incitent pas à leur prêter autant d'attention. Les plus courtes ne sont pas forcément les meilleures. Pourtant, par leur abondance et leur esprit de synthèse elles méritent bien leur place dans notre inventaire de la chanson populaire. Et puis comme elles sont courtes, justement, on peut vous en proposer trois pour le prix d'une !

Pour écouter les chansons et lire la suite : 

vendredi 4 juillet 2025

481 - Jolie bergère au pâturage

 Les bergères d'avant « me too » savaient tout de même se défendre des messieurs un peu trop entreprenants. Cette chanson pourrait aussi bien s'intituler « Ah que les filles ont de la malice » tant cette sentence revient avec insistance dans une majorité des exemples que nous avons pu lire ou entendre. Les chansons de bergères donnent un véritable catalogue des moyens utilisés par la jeune fille pour se défaire du galant insistant. Celle ci est une des plus radicales et expéditives.

Pour écouter la chanson et lire la suite :

mardi 24 juin 2025

480 - C'est mon bon valet de la foire de Guérande

 S'il est un personnage qui a droit à toutes les considérations dans les chansons traditionnelles c'est bien le valet. Attention, nous ne parlons pas ici de Nestor au château de Moulinsart. Ecartons cette image du serviteur en livrée. C'est du principal employé d'une ferme de quelque importance qu'il s'agit. Celui qui seconde le maitre au point de parfois le dépasser comme le laissent entendre quelques unes de ces chansons. Il a souvent des défauts, dont celui de vouloir supplanter son patron. Mais cette fois nous chantons ses qualités.

Pour écouter la chanson et lire la suite :

mardi 27 mai 2025

Dastum 44, canal historique

 Des chansons, des musiques, des contes...des témoignages aussi ; Dastum 44 recueille le
patrimoine oral sous toutes ses formes. Dans le cadre de la semaine internationale des archives, les Archives Départementales de Loire-Atlantique présentent le résultat d'une enquête menée à leur demande par Dastum 44 (1). Hugo Aribart, salarié de l'association (2) a recueilli le témoignage d'agents des voies navigables, gérées par le Conseil Départemental. Le métier d'éclusier a beaucoup évolué au cour des âges...

pour lire l'article :

lundi 19 mai 2025

Pays de la Loire – La fin de la culture ?

Un bon schéma vaut mieux qu'un long discours ; certes. Une bonne interview permet aussi de
mieux comprendre ce qui se joue au niveau culturel dans la région des Pays de la Loire.
Alors, nous vous recommandons la lecture des propos de Mael Hougron (Le Nouveau Pavillon) Francis Boissard et Hugo Aribart (Dastum 44) publiés dans le dernier numéro de la revue Musique bretonne, le trimestriel du réseau Dastum. Ces trois témoignages ont aussi été repris en ligne par Modal, le média. 

Bonne lecture.


lundi 28 avril 2025

C’est une bibliothèque qui brûle !

 Signez en ligne la pétition de soutienà Dastum 44.

Vous consultez régulièrement ce blog et nos actualités. Vous avez donc suivi l'évolution de nos difficultés, liées à la baisse ou à la suppression des subventions qui nous permettaient de maintenir un emploi salarié. Le licenciement économique de Hugo Aribart est devenu effectif. Nos financeurs régionaux préfèrent voir l'Etat indemniser un chômeur plutôt que contribuer au bon fonctionnement d'une association qui oeuvre pour la préservation et la valorisation du patrimoine oral. Un véritable gâchis de l'argent public, mais surtout une situation très difficile pour le salarié privé d'emploi et pour l'association privée de sa principale ressource.

Plus que jamais Dastum 44 a besoin de vous.

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